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Agnès Callu

Ancienne élève de l’École nationale des Chartes (thèse publiée, Prix Lenoir) et de l’Institut national du Patrimoine (INP/Conservateur du Patrimoine – État/Musées), Docteur en histoire contemporaine de Sciences Po – Paris (Prix Chaix d’Est Ange de l’Académie des Sciences morales et politiques - thèse publiée, réimprimée en 2017), Habilité à diriger des recherches à l’EPHE, Agnès Callu est Historienne et Historienne de l’Art. Qualifiée comme Professeur des Universités (Section 22), elle est Chercheur statutaire au LAP, Laboratoire d’Anthropologie politique - Approches interdisciplinaires et critiques des mondes contemporains, (EHESS/CNRS, UMR 8177). Elle est également Chercheur associé à l’École pratique des hautes études (Équipe HISTARA) et à l’ITEM/ENS (Équipe Processus de création / Genèse de l’œuvre). Elle a récemment publié : en 2016, Gaëtan Picon, les Lettres et les Arts : dans l’atelier de la création [préf. Jean-Michel Leniaud], (Éditions Champion) et Autopsie du musée : étude de cas (1880-2010) [préf. Roland Recht] (CNRS-Éditions) ; en 2018, Culture et élites locales en France (1947-1989) [préf. Jean-Louis Fabiani] (CNRS-Éditions), Le Mai 68 des historiens, [préf. Patrick Boucheron], Presses universitaires du Septentrion et, avec Roland Recht, L’Historien de l’art : Conversation dans l’atelier (L’Atelier contemporain) ; en 2019, Dessein, Dessin, Design : pour une fabrique médiatique de l’histoire (Éditions Hubtopia) ; en 2020, Épistémologie du dessin. Concepts, lectures et interprétations, XIX-XXIe s (Éditions Jacques André). Elle dirige plusieurs collections d’ouvrages : depuis 2019, aux Éditions Gourcuff-Gradenigo, « Le Dessin au Présent » ; depuis 2021, aux Éditions Jacques André, « Dans le silence de l’atelier » ; depuis 2022, aux Editions du Bord de l’eau, « Imaginaires de l’architecture ».

 

 

Eva Jospin. Des baptistères en forêt

 

 

Cet ouvrage, conçu comme une monographie critique du travail d’Eva Jospin, analyse le processus et les motifs d’une création archaïque et festive qui, déjouant au carton les répertoires esthétiques de la mythologie antique, les actualisent en les indexant à une contemporanéité féérique et mystérieuse, laquelle se déploie sous des sculptures, installations et dessins autant qu’elle acte sa singularité plastique à l’estuaire de l’Arte Povera, de l’Architecture et de grottes semi-urbaines.

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