Leila Maï-Parion, entrepreneure passionnée d’art, de mode et voyages. Portant un réel intérêt au droit de l’homme, après son baccalauréat à la Maison d’éducation de la légion d’honneur, elle poursuit une licence de droit à l’université Panthéon-Assas, avant d’être finalement diplômée en Communication.
Au retour d’un long séjour à Montréal et forte de plusieurs expériences professionnelles en communication événementielle, relation presse et marketing ; elle poursuit ses études supérieures dans le domaine de la mode puis obtient de multiples certifications notamment en stylisme, modélisme, conseil en image et Personal Shopper. C’est donc tout naturellement qu’elle décide d’allier les deux univers qui l'animent, la danse et la mode, en créant la marque de vêtements de danse Myrigandan’Z « ma tenue de danse » en 2015.
Son envie de mieux accompagner les artistes dans leur choix vestimentaire et son sens de l’esthétique et de la psychologie l’encouragent à être consultante en image. C’est avec un goût prononcé pour le challenge que Leila se lance dans la création de sa structure MaïS’tyle en mettant à profit ses différentes casquettes. Du fait de son expertise reconnue dans le secteur de la mode, Leila intervient en qualité de jury au Centre de formation et de relooking Coach’n Look.
Adepte de développement personnel, elle utilise également ces outils pendant ses séances de coaching en image afin d’apporter des conseils avisés à ses clients. Leila admet faire un clin d’œil à la danse en proposant une sorte de thérapie à travers le mouvement généré par le vêtement, en mettant en lumière le potentiel de chaque personne à travers son style vestimentaire. Son mot d’ordre « La créativité au service du bien-être. »
Elle présente
Laetitia Vivien est Psychologue clinicienne, Psychothérapeute, Psychopédagogue.
Leila Maï-Parion est Styliste, Modéliste, Consultante en image.
Confrontées quotidiennement à un public en souffrance, elles constatent que cette dernière est souvent, chez la femme, liée à un défaut d'expression, d'épanouissement, de défense dans ce qui ferait d'elles des sujets à part entière.
Par ailleurs, portant un réel intérêt à l'art, leur regard s'est arrêté sur des artistes s'évertuant à aider d'autres femmes, quant à leur évolution personnelle, la plupart du temps avec succès ; elles se sont intéressées à leur oeuvre. "Sept nouvelles figures d'inspiration, l'expression de la femme à travers l'art" part d'une observation sur la condition de la femme d'hier et d'aujourd'hui, à savoir en position inégale régulière par rapport à l'homme, malgré de nombreuses avancées, pour estimer que le combat doit se faire aussi et avant tout par un travail sur soi-même : à l'instar de revendiquer sa liberté "à l'extérieur" de soi, il s'agirait de la trouver "à l'intérieur" de soi, d'où découleraient ensuite d'intéressants changements.
Un moyen de le faire est d'en passer par l'art, sous quelque forme qu'il soit : sept artistes de par la culture de leurs arts de prédilection, inspirent et/ou proposent de travailler sept dimensions de soi telles que : l'écoute de son corps, son ressenti, son potentiel artistique, cultiver sa joie, sa beauté, sa féminité et sa sensualité. Dans une perspective de véritable épanouissement de la femme, certains axes pourront être préférés au regard des problématiques de chacune, les artistes en étant la preuve-même, au regard des fragilités ou difficultés qu'elles ont elles-mêmes dépassées par leur travail.
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